Un arrêt de travail peut être dû à deux principaux facteurs : la maladie et l’accident. Il peut arriver qu’un salarié abuse de sa situation pour prolonger son temps d’inactivité. Dans ce cas, il sera soumis à un contrôle effectué par l’employeur lui-même ou la caisse d’assurance maladie. Un arrêt de travail abusif ou non justifié peut être lourd de conséquences pour le travailleur. Mais quelles sont les sanctions encourues par un salarié lorsqu’il arrête son travail sans avancer les raisons solides ?
Comment s’effectue le contrôle d’arrêt de travail de la CPAM ?
En cas d’arrêt de travail d’un salarié, le contrôle peut être effectué par la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie). C’est le service médical de cet organe qui se chargera de faire l’examen. Dans ce cas, un médecin-conseil sera désigné pour attester de la conformité du justificatif présenté par le travail. Le professionnel agit donc en diagnostiquant l’assuré afin de s’enquérir de son état de santé.
Lorsque le médecin-conseil se rend compte qu’il y a un arrêt abusif, il le signifie au service habilité afin que le salarié soit convoqué. Ainsi, ce dernier peut voir ses indemnités réduites ou carrément annulées. Ce sont là les démarches faites aux services de https://www.mediverif.fr/ pour un contrôle médical employeur des arrêts de travail.
Comment s’effectue le contrôle d’arrêt de travail de l’employeur ?
Lorsqu’un salarié est en arrêt de travail, il peut bénéficier d’un capital versé sous forme d’indemnités par son employeur. Cette allocation arrive en complément aux indemnités versées par la sécurité sociale et servira à couvrir les dépenses liées aux soins médicaux du travailleur et ce, même en cas de grossesse.
Cependant, cette compensation donne le droit à l’employeur d’effectuer un contrôle d’arrêt de travail afin de s’assurer de la conformité du justificatif que son employé lui a présenté. C’est juste un examen de santé qui empêche le salarié d’abuser de sa situation.
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